Matriochkas : faciliter la mobilité douce; les vélos dans les transports publics

Auteur
Milena
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Description du souhait

De nos jours nous savons l’importance de passer des transports à énergie fossile à une mobilité douce. Les villes se chargent certes de plus en plus à inclure des infrastructures pour cette nouvelle mobilité, mais elle reste souvent compliquée pour l’utilisateur.

Je suis convaincue qu’en facilitant les vélos/trottinettes dans les transports publics, cela encouragerait ce type de mobilité. Telles des matriochkas (ou poupée russe) les bus et trains devraient pouvoir entraîner avec eux une vague de mobilité douce plutôt que de décourager ces pratiques.
Question pratique, les trains romands ne comportent que très peu d’espace à vélo qui obstruent souvent le passage des passagers ou bien sont soumis à des réservations pour cause de environ 3 places par train.
La place manque.
Les chiens* ne paient pas, les valises ne paient pas, les contrebasses ne paient pas, les poussettes ne paient pas, les tricycles ne paient pas, les vélos paient (sauf achat d’un tranzbag qui demande un prix ainsi qu’une manœuvre et des outils à chaque embarquement).
Prendre un vélo devient coûteux en temps et en argent.

Je pense qu’un arrangement devrait être trouvé pour améliorer la situation.
Une gratuité totale en tout temps, un arrangement d’horaire hors heures de pointe, un prix symbolique de « bagage encombrant », un abonnement réduit, les solutions sont nombreuses pour améliorer rien qu’un peu les voyages des cyclistes pour qu’il puissent continuer de rouler sans avoir des bâtons dans les roues.

Timeline

12.02.24

Souhait reçu.