La question des éventuels dommages est le plus souvent laissée dans l'ombre par les chercheurs qui visent à connecter le cerveau humain à des machines. Mais il y a en effet des risques. En 2002, Kevin Warwick a fait transiter par Internet les signaux envoyés par son cerveau pour faire bouger une main robotique qui se trouvait à des milliers de kilomètres de lui et en recevoir un feed back. Ayant peur que des hackers ne s'introduisent dans le système et envoient quelque chose de dommageable pour son cerveau (tout en n'ayant pas la moindre idée de ce que cela pourrait être), il n'a rendu publique l'expérience qu'après l'avoir faite. C'est dire qu'il était conscient qu'il pourrait y avoir un risque, mais qu'il ne voulait pas pour autant renoncer à l'expérience.
La question des éventuels dommages est le plus souvent laissée dans l'ombre par les chercheurs qui visent à connecter le cerveau humain à des machines. Mais il y a en effet des risques. En 2002, Kevin Warwick a fait transiter par Internet les signaux envoyés par son cerveau pour faire bouger une main robotique qui se trouvait à des milliers de kilomètres de lui et en recevoir un feed back. Ayant peur que des hackers ne s'introduisent dans le système et envoient quelque chose de dommageable pour son cerveau (tout en n'ayant pas la moindre idée de ce que cela pourrait être), il n'a rendu publique l'expérience qu'après l'avoir faite. C'est dire qu'il était conscient qu'il pourrait y avoir un risque, mais qu'il ne voulait pas pour autant renoncer à l'expérience.